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GUIDE DU PRESCRIPTEUR – LA PROSPERITE

1 – Définition

Par rapport à la santé qui a été définie au tome 1 de cette série, la prospérité peut être définie, comme :

‘Un état de bien-être social’.

2 – Notion de prospérité

La prospérité est une notion subjective. Il est cependant possible de lui trouver quelques justifications objectives.

Même si ‘l’homme est la mesure de toutes choses’, on peut, de façon pertinente, trouver des valeurs objectives telles que :

  • L’indépendance financière ;
  • La pénibilité de l’acquisition des biens économiques ;
  • La réalisation d’un rêve longtemps caressé : la notion de bonheur !

La valeur sociale la plus recherchée est le bonheur. C’est-à-dire, la satisfaction permanente d’un rêve.

L’adage dit : ‘l’argent ne fait pas le bonheur mais y contribue’. Ainsi, la réalisation d’un rêve nécessite, entres autres choses, de rassembler des moyens suffisants.

D’où la course effrénée à l’acquisition de l’argent. On distingue alors, deux catégories d’individus dans la société : les Riches et les Pauvres.

Comme le corps social se compose de quatre catégories d’individus, un passage en revue de ces catégories permettra de situer dans quelle catégorie on peut classer les pauvres et les riches.

A – Il y a des individus qui ont du travail et qui échangent leur travail contre de l’argent, ce sont des Employés.

B – Il y en a qui ont une entreprise, ce sont des entrepreneurs indépendants et qui échangent leur travail contre de l’argent, ce sont des Auto employés.

C – Il y en a qui sont propriétaires d’un système et des travailleurs et qui échangent, à travers ce système, du travail contre de l’argent, ce sont les Hommes d’affaires.

D – Il y en a qui ont de l’argent et qui le font travailler, ceux-là échangent leur agent contre de l’argent, ce sont des Investisseurs.

On constate dès lors, que de ces catégories, seule D a une indépendance financière !

A, B et C sont à des degrés divers, financièrement dépendantes.

Si ces catégories veulent parvenir au bien-être social, elles doivent nécessairement aller à D.

On constate objectivement, que dans A et B, la pénibilité décroit de A vers B. Alors que dans C et D, on ne parle même plus de pénibilité mais plutôt d’effort à fournir pour parvenir à la richesse qui décroit de C vers D.

Cette situation est illustrée par le schéma ci-dessous :

Il est aisé, de façon objective de déduire de cette situation, les conclusions de fin de ces deux catégories.

Si :

A et B deviennent malheureux, pauvres et malades ;

C et D deviennent Heureux et prospères.

Des experts vont jusqu’à estimer que la répartition des richesses mondiales est la suivante :

  • 95% de la population n’obtiennent que 5% des richesses ;
  • Alors que 5% de la même population engrangent 95% des richesses !

Riches ou Pauvres, c’est une question de mentalité. Tout le monde peut être riche ou pauvre, il suffit de vouloir pour choisir sa situation.

3 – La loi du levier

Quand on observe bien le monde du travail, on constate ce qu’illustre la figure ci-dessous :

C’est-à-dire que partout ou ‘la loi du chacun pour soi’ règne, c’est la misère et le désœuvrement.

Alors qu’avec un peu de solidarité, on arrive à s’en sortir par le jeu des relations. Cela se résume par l’adage qui dit que ‘l’union fait la force’.

En d’autres termes c’est ce qu’exprime la loi du levier, très bien connue et pratiquée par les communautés juives ou mauritaniennes les ‘Diallo’ de nos quartiers.

Mieux, c’est ce que des sociétés comme :

  • Yahoo ;
  • Facebook ;
  • Google ;
  • Microsoft ;
  • Etc. et j’en passe, ont appliqué pour devenir ce qu’elles sont aujourd’hui.

Sur le schéma on lit clairement, ‘Le Marketing Relationnel’. Qu’est-ce que c’est ?

Ce n’est qu’une autre forme de solidarité, mais cette fois-ci, dans le domaine de la distribution.

4 – La distribution

La règle économique fondamentale est : 

  • Produire et distribuer des biens ;
  • Pour en recueillir de la richesse.

Dans le tome 2, on a montré comment produire les alicaments.

Dans le présent tome 3, il sera indiqué comment distribuer ces alicaments pour en retirer la prospérité.

La démarche retenue est la suivante :

  • La distribution basée sur le marketing classique ;
  • La distribution basée sur le marketing relationnel ;
  • Cas de AIMG.

4.1 – Le marketing classique

Une fois sorti de chez le fabricant, le produit passe successivement par au moins trois étapes avant de parvenir au consommateur final :

  • Le grossiste ;
  • Le demi grossiste ;
  • Le détaillant.

Le consommateur final est celui qui utilise le produit.

Comme ni le grossiste, ni le demi grossiste, ni le détaillant ne connaissent pas à priori le produit ; le fabricant est souvent obligé de le faire connaitre par le biais de la publicité. Cette activité lui revient très cher.

Il est contraint d’incorporer ce cout au prix de vente du produit.

A cela, les différents intermédiaires ajoutent, chacun à son niveau, les frais de conservation et les taxes réglementaires auxquelles ils ajoutent leur bénéfice.

Si bien qu’au niveau du consommateur final, le produit devient très cher !

 4.2 – Le marketing relationnel

 Dans cette catégorie de distribution, le produit sorti de chez le fabricant est directement livré au consommateur final à travers un seul relai, le prescripteur.

Si bien que les différents couts :

  • Cout de publicité ;
  • Taxes diverses ;
  • Bénéfices des intermédiaires ;
  • Etc. sont sérieusement minorés.

Voir schéma ci-dessous !

Le processus de distribution d’un produit

4.3 – Avantages du marketing relationnel ou de réseau

Si (1) représente le processus du marketing classique et (2) représente le processus du marketing relationnel, on constate :

  • Avec la disparition du PV2 du demi grossiste et du PV3 du détaillant, l’effort financier du consommateur est amoindri ;
  • Seul le PV1 du grossiste demeure, mais il n’est pas question de frais de publicité, il suffit de bien former le prescripteur pour que le produit soit bien connu ;
  • Le cout de publicité est incorporé aux frais de la recherche de solutions, pour améliorer la qualité du produit ;
  • Le prescripteur certain de la bonne qualité du produit, ne pourra que veiller à l’élargissement de son réseau ;
  •  
  • Le fabricant, heureux d’écouler régulièrement son produit, n’hésitera pas à instaurer une série de récompenses pour motiver le prescripteur.

4.4 – Le mécanisme de constitution d’un réseau 

A – Les notions de base

Trois notions fondamentales méritent d’être mentionnées :

  •  Le Fabricant, dont le rôle est de :
    • Fabriquer des produits de bonne qualité ;
    • Veiller à leur disponibilité permanente ;
    • Bien rémunérer les prescripteurs.
  • Le Prescripteur, dont le rôle est de :
    • Acquérir les produits et les utiliser ;
    • En parler à ses connaissances de sorte que chacune les acquiert et les utilise pour s’en convaincre ;
    • Chaque connaissance les conseille à ses amis qui les acquièrent et les utilisent ;
    • Et constituent ainsi à leur tour, des réseaux.
  • Le Consommateur, dont le rôle est de :
    • Acquérir les produits ;
    • Les utiliser en respectant la posologie indiquée ;
    • Contrôler les effets et en rendre compte au prescripteur ;
    • Devenir à son tour, un prescripteur.

B – La composition d’un réseau

Un réseau est une Entreprise composée de :

  • Une Racine, l’initiateur du réseau ;
  • Une Structure de base, le nombre optimal de personnes nécessaires à la constitution du premier niveau ;
  • De Règles sur les générations requises pour obtenir les résultats escomptés :
    • Le nombre maximum de générations à déterminer ;
    • La structure (S) de base à déterminer ;
    • L’effectif optimal, qui doit être fonction du rang (g) de la génération, à déterminer.

Ainsi, on doit pouvoir connaitre à tout moment :

  • Le nombre de personnes à un niveau ou génération donné E(g) ;
  • L’effectif du réseau E(r).

De façon théorique, on a :

  • Pour une génération g donnée : E(g) = S
  • Pour un réseau de g générations : E(r) = ∑Si

Avec g prenant des valeurs allant de i = 0, à i = g.

Exemple :

Pour S = 2 et g = 3, on a

E (3) = 23 = 2*2* 2 = 8

E(r) = 20 + 21 +22 +23

                     1 + 2 + 4 + 8 = 15

5 – Cas de AIMG

Dans le cas de AIMG :

  • La structure de base : S = 2 ;
  • Le nombre maximum de générations : g = 10.

Il y a possibilité de se positionner :

Avant de recruter d’autres personnes ou filleuls.

Dans la suite de l’exposé on ne parlera que d’un compte principalement.

5.1 – Les moyens de gagner de l’argent

 Les fondateurs ont déclaré :

‘Ouvrir les portes des opportunités et de la prospérité en aidant nos distributeurs à atteindre l’indépendance financière et la stabilité en maximisant leur richesse grâce à nos produits et services révolutionnaires’ !

D’où leur slogan :

‘Passez d’une personne ordinaire à un extraordinaire millionnaire’ !

Tout commence par l’achat d’un Kit d’adhésion.

Cette adhésion a les caractéristiques suivantes :

  • Un enregistrement unique, à vie et international ;
  • Les produits sont uniques ;
  • La commercialisation se fait par les distributeurs, à travers un plan de compensation ;
  • Des centres de suivi des distributeurs en temps réel et en ligne ;
  • Le paiement des commissions se fait quotidiennement ;
  • Des motivations pour les voyages vers les Etats-Unis, l’Europe et l’Asie.

Cette adhésion donne droit à des formations gratuites :

  • NDO ;
  • OPP ;
  • ASAP ;
  • Formations techniques.

Le cout du Kit est de 138 000 Francs CFA.

A partir du contenu du Kit il est proposés sept moyens de gagner de l’argent comme l’indique le schéma ci-dessous :

A – Vente en détail

Qui donne droit à un profit de 25% du prix d’achat du produit. Ceci, sans limitation de quota !

 B – Bonus de parrainage

Comme on a droit deux filleuls à la première génération :

  • A gauche : 9 000 F CFA ;
  • A droite : 9 000 F CFA ;
  • Au total un bonus parrainage de 18 000 F CFA. Cela, sans limitation de quota.

C – Bonus d’équilibre

Une fois que vous obtenez vos deux filleuls, vous avez droit à 19 000 F CFA. C’est un bonus indirect. Là encore, il n’y a pas de limitation de quota !

A terme, on aboutit au schéma ci-dessous :

Rien qu’à ce stade, l’évolution au sein de AIMG peut vous faire gagner des millions.

Le schéma ci-dessous permet d’illustrer cette évolution.

D – Uni-Level bonus

Ce bonus a deux taux :

  • 10% à la première génération ;
  • 5% jusqu’à la 10ème génération.

C‘est ce qu’illustre le schéma ci-dessous :

E – Stair step amélioré

Dont les taux s’échelonnent de 10% à 40% selon le rang de l’individu.

C’est ce qui est illustré dans le schéma ci-dessous :

F – GA maxi 10 !

Maintenir au moins 10 points position des non GA, ce qui permet de gager 2% sur votre groupe de GA jusqu’à la 10ème génération. Cette situation est illustrée par le schéma ci-dessous :

G – Maintenance

Cette situation permet de doubler ou tripler votre réalisation personnelle et augmenter vos points commission.

Elle est illustrée par le schéma ci-dessous.

5.2 – Les opérations obligatoires

Ces opérations conditionnent l’évolution au sein de AIMG.

Elles consistent à :

  • Adhérer ;
  • Recruter ;
  • Passer de nouvelles commandes.

Mais auparavant il faut maitriser les termes techniques utilisés.

A – Définition des termes techniques

  • Business center (BC) :
  • Business center office (BCO) :

B –  Adhérer

C – Recruter

D – Passer des commandes